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La conférence parle des peuples indigènes á risque alors que la forêt tropicale est dépouillée.

Mardi 6 mai 2003

Le Peuple Mapuche est inquiet de voir que ce qu’était leur florissante forêt a maintenant été vendu á des marchants de bois peu scrupuleux.

Lors de la conférence, il a été dit que le dépouillement de la foret tropical met les peuples indigènes á risque.

Une avocate de l’Amérique du Sud á dit que le peuple Mapuche du Chili perdent leur terre et leur sens de la vie alors que des industries s’installent et crées des scieries.
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La conférence parle des peuples indigènes á risque alors que la forêt tropicale est dépouillée.

Mardi 6 mai 2003

Une avocate de l’Amérique du Sud á dit que le peuple Mapuche du Chili perdent leur terre et leur sens de la vie alors que des industries s’installent et crées des scieries.

"Le peuple Mapuche pense que nous sommes les gardiens de notre forêt magique" dit Maria Theresa Panchillo le premier jour de la conférence mondiale de trois jours sur la Forest Tropicale á l’Université de Victoria.

Dans la région oú vie Panchillo, "il n’y a presque plus de foret…Tout a été coupé et nettoyé par la plus grosse entreprise de bois du Chili."

Panchillo, parle avec un interprète, la perte d’arbre dans la forêt de Valdivian, signifie que le système d’eau a été perturbé et beaucoup de communautés n’ont plus d’eau proche de leurs habitations durant l’été.

La pollution des industries signifie que l’eau doit être importée dans beaucoup de ville, elle dit : "s’ils ont enlevé la forêt, il n’y a plus d’eau, car á l’intérieur des forets, il y a la force et l’énergie de créer l’eau."

Le peuple Mapuche a lancé une campagne contre les entreprises de déforestation pour qu’elles partent de ce qu’elles disent être leur terre. Une campagne internationale demande au gouvernement Chilien de réglementer les forets et plantations afin de protéger la forêt et les indigènes

"Quand nous nous battons pour la forêt, nous nous battons aussi pour nos vies qui dépendent de la forêt" a dit Panchillo.

Aaron Sanger de ForestEthics dit que plus de 70 participants sont attendus pour la conférence qui est sponsorisée par une entreprise basée aux Etat-Unis, Land Alliance avec plusieurs groupe Canadien pour la protection de l’environnement.

Les sujets seront la communication, comment utiliser les lois et en créer de nouvelles, le commerce international, le marché des produits certifiés et les nouvelles idées.

"Abattre la forêt tropicale compromet la vie des peuples qui vivent là "a dit Sanger. Du Chili á la cote B.C. á l’Alaska, "Le fragile équilibre menace la population et les forêts les plus en danger au monde"

Elmer Makua, un représentant du peuple Tl’ingit en Alaska, a dit »: L’attaque continue, cela se produit depuis des décennies."
L’exploitation forestière et minière, la pêche et le tourisme aident á diversifier l’économie mais ont un impact sur les forêts. Il s’inquiète également de l’utilisation de pesticide dans la forêt nationale en Alaska, la Tongass et la Chugach.
Pour le peuple Tl‘ingit, la connexion á la forêt et aux animaux est spirituelle.


Brian McNitt, directeur de la campagne pour la conservation de la forêt en Alaska, se bat pour éviter que le service des forêts des USA construise de nouvelle route et déboise des milliers d’hectares d’arbres dans la forêt tempérée d’Alaska. Son groupe soutient des règles contre les routes et la déforestation dans les régions non-exploite d’Alaska de la Tonggass et Chuggas et autres forêts.

Carla Wilson
Colonne du Times.
© Copyright 2003 Times Colonist (Victoria)

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Traduit par Sabine

 

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